Juin 1969 : " Malek, un petit Boufarikois "
Retour au Pays, ou Malek, un petit Boufarikois
Au cours de l’année 68/69, nous avions ouvert une bibliothèque à l’école, aussitôt appréciée de beaucoup d’élèves. Parmi les livres présents, toute une collection aux titres évocateurs, tel, un petit Nigérien, un petit Esquimau,un petit Indien...Dans un des CM2 de cette année 1969 a jailli cette question : "Pourquoi pas, un petit Boufarikois " ? Et c’est ainsi que d’idées en idées, de textes en textes, est née cette nouvelle...

LA voici reproduite ici en son entier ; l’introduction en page une, résume bien encore aujourd’hui tous les enjeux d’ un tel travail ensemble dans la classe, ainsi que l’ouverture à d’autres classes, de CE2 pour en faire l’illustration, (Nous ne disposons plus de l’original.)

Reste le souvenir merveilleux, du temps passé ensemble en classe, qui avait ainsi permis à tous de s’exprimer, de décrire un peu la vie à l’époque à Boufarik, (40 ans déjà !), avait donné l’envie du partage pour cette histoire et le goût d’écrire pour se faire reconnaître comme petit Boufarikois.

Occasion alors d’échanger avec les enseignants, des idées en toute liberté, de se révéler les uns aux autres : un tel climat a alors libéré l’écriture et la création spontanée : ce style en "liberté" nous reste comme une récréation joyeuse du langage et de l’écriture.

C’était les premières années après l’indépendance... Elèves et éducateurs, ( parents, enseignants) avions bien conscience alors d’un avenir à écrire, dans l’effort, la solidarité, la joie d’être ensemble. Ce temps passé ensemble à St Joseph de Boufarik nous a par la suite beaucoup aidés dans les divers engagements qui ont été les nôtres ensuite. C’est d’ailleurs ce que nous nous sommes dit en premier à la rencontre à Budelière. Quarante ans après, cette fois avec nos enfants et petits enfants, il nous faut continuer à écrire d’autres pages dans l’espérance d’un monde toujours meilleur à faire grandir. " Inch Allah "

Ps Toutes mes excuses, mais impossible actuellement de mettre les pages en ordre sur l’écran alors que je les ai chargées dans le bon ordre ! ! ! J’ai donc numéroté les pages... pour le suivi du texte écrit.

Le lundi 17 novembre 2008 par Mourot Jean Claude